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La Confusion des sentiments, Stefan Zweig
Dès sa rencontre avec son professeur, l’étudiant est pris d’une passion qui va le déstabiliser au plus profond de son être. Se donnant corps et âme dans cette nouvelle amitié, Roland doute de tout, sauf de son adoration pour celui qui devient, pour un temps, le centre de son univers.
Continuer la lecture « La Confusion des sentiments, Stefan Zweig »Brûlant secret, Stefan Zweig
En vacances dans un hôtel, un jeune baron pense pouvoir vivre une brève mais plaisante aventure avec l’une des clientes, accompagnée seulement de son enfant. En passant par le garçon pour s’approcher de la mère, le baron ne sait pas que la partie de chasse va finalement basculer en sa défaveur.
Continuer la lecture « Brûlant secret, Stefan Zweig »Les Deux Soeurs – Une histoire au crépuscule, Stefan Zweig
L’un connaît le premier amour dans la nuit obscure estivale, les deux autres tentent de parvenir à leurs fins en gagnant la partie, quitte à user de leurs charmes et à nuire à leur reflet. Les joies, les peines et les vices de la jeunesse ici exposés dans ce jeu de lumières dans lequel le mystère est bien plus doux que la vérité.
Continuer la lecture « Les Deux Soeurs – Une histoire au crépuscule, Stefan Zweig »Amok – Lettre d’une inconnue – La Ruelle au clair de lune, Stefan Zweig
La passion en ce qu’elle a d’irrésistible et de semblable à la folie : c’est le thème central de ces trois récits publiés en 1922 par le grand écrivain autrichien, auteur du Joueur d’échecs et de La Confusion des sentiments.
L’amok, en Malaisie, est celui qui, pris de frénésie sanguinaire, court devant lui, détruisant hommes et choses, sans qu’on puisse rien faire pour le sauver. Le narrateur rencontre sur un paquebot un malheureux en proie à cette forme mystérieuse de démence.
Histoire encore d’une folie, d’une passion – d’un amour fou, cette fois – que la Lettre d’une inconnue reçue par un romancier à succès.
Mais la passion peut faire de l’homme dominateur et méprisant un être humilié et ridiculisé : c’est le thème du troisième de ces récits, La Ruelle au clair de lune.
Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, Stefan Zweig
Scandale dans une pension de famille « comme il faut », sur la Côte d’Azur du début du siècle : Mme Henriette, la femme d’un des clients, s’est enfuie avec un jeune homme qui pourtant n’avait passé là qu’une journée… Seul le narrateur tente de comprendre cette « créature sans moralité », avec l’aide inattendue d’une vieille dame anglaise très distinguée, qui lui expliquera quels feux mal éteints cette aventure a ranimés chez la fugitive. Ce récit d’une passion foudroyante, bref et aigu comme les affectionnait l’auteur d’Amok et du Joueur d’échecs, est une de ses plus incontestables réussites.
LIRE LA SUITELe Monde d’hier, Stefan Zweig
Rédigé en 1941, alors que, émigré au Brésil, Stefan Zweig avait déjà décidé de mettre fin à ses jours, Le Monde d’hier est l’un des plus grands livres-témoignages de notre époque. Zweig y retrace l’évolution de l’Europe de 1895 à 1941, le destin d’une génération confrontée brutalement à l’Histoire. Il évoque avec bonheur sa vie de bourgeois privilégié dans la Vienne d’avant 1914 et quelques grandes figures qui furent ses amis : Schnitzler, Rilke, Romain Rolland, Freud ou Valéry. Mais il donne aussi à voir la montée du nationalisme, le bouleversement des idées au lendemain de la Grande Guerre, puis l’arrivée au pouvoir d’Hitler, l’horreur de l’antisémitisme d’État. Avec le recul, la lucidité de son testament intellectuel frappe le lecteur d’aujourd’hui, de même que sa dénonciation des nationalismes et son plaidoyer pour l’Europe.
Continuer la lecture « Le Monde d’hier, Stefan Zweig »Le Joueur d’échecs, Stefan Zweig
Qui est cet inconnu capable d’en remontrer au grand Czentovic, le champion mondial des échecs, véritable prodige aussi frustre qu’antipathique ? Peut-on croire, comme il l’affirme, qu’il n’a pas joué depuis plus de vingt ans ? Les circonstances dans lesquelles l’homme a acquis cette science sont terribles. Elles nous renvoient aux expérimentations nazies sur les effets de l’isolement absolu, lorsque, aux frontières de la folie, entre deux interrogatoires, le cerveau humain parvient à déployer ses facultés les plus étranges.
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