Dans un futur proche, Casey Alexander parcourt les restes du monde, avec un seul but en tête : trouver un havre de paix. Au cours de son périple, il rencontrera ses futurs alliés… Comme ses futurs ennemis ! En leur compagnie, Casey tentera l’impossible pour survivre et trouver une terre accueillante où vivre…
Casey Alexander marchait d’un pas décidé dans le sable brûlant du désert.Ses rangers noires, autrefois brillantes, étaient maintenant ternes et usées. Je me souviens encore du cadavre dont elles proviennent, pensa Casey en souriant.
Il m’est difficile de déclarer si j’ai vraiment aimé ce roman malgré ses points positifs au vu de tous les éléments qui m’ont dérangé. Arnaud Niklaus nous plonge dans une atmosphère sombre qui colle parfaitement à son style d’écriture assumé. Malheureusement, rien n’est vraiment approfondi, que ce soit l’univers ou les personnages. Ce livre d’une quarantaine de pages en numérique est bien trop court pour réussir à m’entraîner dans cette histoire fantastique qui peine à poser ses bases pour la suite.
Certains personnages semblent intéressants mais n’ont pas la chance de pouvoir être développés dans ce trop court récit. L’idée de base reste très intéressante et je pense qu’il serait judicieux à l’avenir de relier les prochains tomes entre eux afin d’offrir une histoire plus consistante, dynamique et profonde. Grâce à sa plume fluide, l’auteur a la possibilité d’approfondir son ouvrage avec davantage de détails et d’informations au sein de cette aventure qui promet tout de même une suite très intéressante. Merci à Arnaud Niklaus pour m’avoir permis de lire son livre.
Un premier tome intéressant mais bien trop court qui ne prend pas le temps de détailler son univers et ses personnages. Mais le style fluide et dynamique de l’auteur peut offrir une suite d’autant plus attrayante dans l’avenir s’il approfondi davantage son histoire.
Sortie : 2018
Autoédition
77 pages
C’est effectivement hyper court! Impossible de développer une idée aussi intéressante en si peu de pages… vraiment dommage!
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Oui, c’est pour ça que j’hésite le plus souvent à lire des histoires de moins de cent pages, je suis le plus souvent déçue…
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